jeudi 19 mai 2011

La niche à chiens fait de la résistance (Vitry-sur-Seine)

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 




Face aux Financiers charognards, 


LA NICHE À CHIEN 

FAIT DE LA RÉSISTANCE. 


















mercredi 18 mai 2011

Toujours à la recherche de quelque chose à voler

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 



Tout ce que l’on voit de l’Europe ne sont que des images.



Des institutions fantômes  (De l’encre noire sur du papier !)  
Ponctuellement,  les médias produisent un éclairage positif sur des institutions ou des administrations qui ne sont rien d’autres que des images. 


Il faut se méfier des images. 
Ces belles images masquent des fonctionnaires incompétents,  intouchables,  payés à prix d’or pour ne rien faire et de plus,  toujours à la recherche de quelque chose à voler.  (Ou d’une saloperie à faire). 

Ces fonctionnaires intouchables sont au service d’un pouvoir qui gagne à pourrir la vie du plus grand nombre. 



Une parcelle de 250 m2 de terrain 


À l’époque,  on est au début des années 1980,  un simple regard sur le cadastre aurait suffi à comprendre. 

La maison est modeste mais elle est construite sur une parcelle de terrain dans un angle de rue au centre d’une zone industrielle. 
Tout projet commercial ou industriel passe par la possession de cette parcelle de terrain en apparence sans grande valeur. 
D’ailleurs,  personne ne se proposera pour l’acheter. 

Les premiers incidents partiront de l’entreprise la plus proche,  l’entreprise Ponticelli.  On pense aussi à la Mairie de Vitry.  Peut-être aussi quelques promoteurs bien placés auprès du Préfet. 

Rapidement,  les incidents vont se multiplier.  Les provocations administratives et policières vont prendre une telle dimension que,  pour comprendre,  chacun va aller chercher beaucoup trop loin. 
Chacun passera à coté de l’explication simple et évidente. 


Les exactions 
Pour augmenter le profit spéculatif,  il faut s’emparer du terrain à bon compte.  Bon compte veut dire ignorer la maison. 

Il faut dire aussi que les conséquences des exactions sont toujours à la charge,  soit de la collectivité,  soit des locataires ou mieux encore,  à la charge du propriétaire. 

En finale,  les élus,  promoteurs et quelques autres n’auront donc que le bénéfice.  Tout se jouera dans l’ombre. 



mardi 17 mai 2011

Le petit cabanon qui dérange les grands.

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 



On passe sur les exactions des années 1980 et on en arrive aux années 1990.


Monsieur le maire de Vitry sur Seine,  « l’Abbé communiste » Alain AUDOUBERT,  s’y intéresse aussi à cette maison.  Plutôt,  ce qui l’intéresse,  l’Abbé communiste,  c’est le garage.  Le garage est bâti au fond de la cour.  « L’Abbé communiste »,  Alain AUDOUBERT,  maire de Vitry sur Seine,  aimerait bien que le garage soit démoli.  Pourquoi ? 

L’existence de ce bâtiment a de bonnes raisons de déranger le maire de Vitry.  Mais,  à la mairie,  on se garde bien d’en afficher la vraie raison. 





LE PETIT CABANON QUI DÉRANGE LES GRANDS 


Ce garage dérange aujourd’hui des gens qui,  hier,  se réjouissaient et gagnaient de sa présence. 

Nous allons le constater,  c’est sous le regard complaisant de « l’Abbé communiste »,  Alain AUDOUBERT,  maire de Vitry sur Seine,  que dans la décennie 1990,  ce garage a servi d’habitation. 

Durant cette décennie,  on a dénombré dans ce garage de 30 m2 jusqu’à huit enfants qui vivaient et dormaient à même le sol.  À ce chiffre,  il faut ajouter un nombre non déterminé d’adultes. 


Mais revenons à l’origine de ce bâtiment. 
Ce bâtiment a été construit dans les années 1950. 

À l’époque,  cette construction est à usage de garage.  Ce garage abrite une voiture.  La ville ne fait pas d’objection lorsqu’elle aménage,  sur le trottoir un «bateau»,  afin de faciliter l’accès au garage. 
(Ce garage est une dépendance de la maison d’habitation.  Le tout est construit sur le famaux terrain.) 


Un bon gros problème 
Un problème d’alignement sur un nouveau plan d’occupation des sols. 
À l’origine,  ce garage est construit sur l’alignement de l’époque.  Il est,  de ce fait,  construit dans le même alignement que celui du voisin. 

Bien évidemment,  le voisin,  dans la configuration identique,  n’est pas,  lui,  inquiété.  Il ne le comprendrait pas.  Sa construction est,  elle aussi,  parfaitement légale. 

On peut préciser que la modification d’un plan d’occupation des sols n’impose pas aux propriétaires de détruire les constructions existantes pour se mettre en conformité.  Heureusement,  il faudrait alors raser un quart des immeubles parisiens.  (Pour ne donner que cet exemple). 

De plus,  on constate régulièrement qu’un nouveau plan d’occupation des sols soit jugé tellement inadapté qu’il n’est pas rare,  qu’après 30 à 40 ans,  on revienne à l’ancien plan.  (C’est précisément le cas pour un nombre de quartiers parisiens). 

Bref,  la procédure discriminatoire de la ville de Vitry n’est motivée,  en fait,  que par une raison inavouable. 

C’est en 1992 que cette maison au n° 2 de la rue Marat à Vitry va être squattée par deux familles africaines.  Mais 15 personnes ne peuvent habiter dans une maison d’habitation conçue pour loger 4 personnes maximums. 
C’est pourquoi ce garage normalement destiné à abriter une voiture sera utilisé comme un local d’habitation. 

Dans ce contexte,  les squatters en 1992,  sans demander l’avis,  ni au propriétaire,  ni à la ville de Vitry (c’est grave !)  Porteront de 20 à 30 m2 la surface de cette cabane. (30 m2 pour 10 personnes, cela fait 3 m2 par personne,  le luxe !  On en convient.) 

Comme on va le constater,  à la ville de Vitry,  on suit de très près tout ce qui se passe à cette adresse.  Cette bâtisse  (dont l’architecture est à l’africaine)  ne dérangera en rien la ville de Vitry.  (Bien au contraire). 

Il faut préciser qu’en été les enfants vivent et dorment dans la cabane.  Qu’en hiver ils vivent et dorment de façon sordide dans la cave insalubre de la maison.  (Ce qui n’est pas mieux). 


L’absence des parents 
Durant l’hiver 1993-1994,  pour régler des affaires personnelles,  les parents retournent en Afrique pour deux semaines.  Ils y resteront quatre mois.  Ils laissent sur place les huit enfants.  (Quelqu’un a dû raconter,  aux parents,  l’histoire du « Petit Poucet »).

Les enfants,  tous mineurs,  sont livrés à eux mêmes.  Ils vivent et dorment dans la cave de la maison.  L’endroit est sordide,  20 m2 au sol,  1,50 m de hauteur sous plafond  (un adulte ne peut y tenir debout),  il n’y a pas de fenêtre,  le sol est en terre battue. 

Les factures sont impayées.  Il n’y a ni eau,  ni électricité,  ni chauffage et rappelons le,  c’est l’hiver. 



lundi 16 mai 2011

L’assistante sociale

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 



- L’ASSISTANTE  SOCIALE  DE  VITRY -


Les enfants ne mangent que le midi à l’école. 
Les enfants dorment à même le sol sur de vieux matelas.  Certains enfants,  en bas âge,  font « pipi au lit ».  Il règne dans cette cave une odeur épouvantable. 

Cette odeur insoutenable incommode même dans la rue et,  d’après les voisins,  l’odeur pénètre aussi l’intérieur des maisons du voisinage. 

Par l’école,  les services sociaux sont informés de la situation des enfants.  L’assistante sociale principale de la ville de Vitry-sur-Seine convoque le propriétaire. 


Le chantage 
En répondant à l’invitation de l’assistante sociale,  le propriétaire victime du squat,  pense naïvement que la ville de Vitry-sur-Seine envisage une solution pour loger convenablement les enfants.  Pas du tout ! 


L’assistante sociale n’est aucunement préoccupée par le sort des enfants. 
Son souci unique,  à cette assistante sociale,  c’est d’exploiter la situation des enfants pour convaincre le propriétaire de vendre la maison. 


Enfin,  quand on dit :  « vendre ! »,  le terme :  « abandonner » conviendrait mieux. 
Il faut savoir qu’à ce niveau,  le métier d’assistante sociale se double d’un très lucratif business immobilier. 

On peut être propriétaire et être confronté à des problèmes d’argent.  (Divorce,  chômage,  etc.).  Et,  l’assistante sociale connaît son métier.  (Elle le dit elle-même.)  Le business des dossiers sociaux,  c’est sa spécialité.  (On ne la contredira pas !) 


À la question « souhaitez-vous vendre votre pavillon » ? 
Le propriétaire répond « non ».  En conséquence,  le débat est clos et les enfants seront maintenus,  sans soins,  livrés à eux mêmes dans la maison,  jusqu’au retour des parents,  quatre mois plus tard. 

On ne s’attarde pas sur les quatre mois d’absence des parents.  Chacun donnera sa version.  Une version qui assaisonne la sauce de mauvaise foi de chacun. 


Aux Jeux Olympiques de l’embrouille,  le maire de Vitry,  Alain AUDOUBERT,  est Médaillé d’Or. 
Courrier en notre possession :  « La version de « l’Abbé communiste »,  Alain AUDOUBERT,  maire de Vitry sur Seine,  n’est pas triste. » 

Alors qu’il a spéculé sur l’absence des parents pour mettre à genou le propriétaire.  Qu’il n’avait rien à gagner au retour des parents en France.  Qu’il a tout fait pour que ceux-ci soient refoulés systématiquement à chaque fois qu’ils se présentaient à la douane.  (Il ne faut pas croire,  les curés possèdent de très gros moyens !) 


« L’Abbé communiste »  Alain AUDOUBERT,  écrit aux parents : 
« C’est sur l’intervention de mes services sociaux auprès de votre Ambassade que vous avez dû rentrer ». 

Cela,  avant d’ajouter : 
« Dès l’instant où vous êtes revenus en France,  c’est la preuve que vous pouvez repartir ».  (Lettre du 01 août 1994) 


Assumer ses propos.  
On peut penser et dire ce que l’on veut.  Il faut assumer ses propos.  Visiblement « l’abbé communiste »,  Alain AUDOUBERT,  maire de Vitry-sur-Seine a fait ses études chez les Jésuites.  Il n’assume pas ! 

Il est inutile de préciser que le retour des parents en France ne changera en rien le sort de ces familles.  Par le blocage de la mairie de Vitry-sur-Seine,  ni l’électricité,  ni l’eau ne seront rétablies pour autant dans l’immédiat. 



dimanche 15 mai 2011

Les voisins

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 




- LES  VOISINS - 


Ils se plaignent beaucoup,  les voisins. 
Les voisins n’ignorent rien de ce qui se passe dans la maison.  Ils connaissent les conditions de vie dramatique de ces familles.  Ils s’en plaignent beaucoup,  les voisins. 

Ils se plaignent beaucoup,  les voisins,  notamment parce que les enfants viennent chercher de l’eau chez eux.  Quasiment du vol ! 

Les voisins se plaignent beaucoup aussi à cause de l’odeur qui se dégage de la cave et qui envahit leur domicile. 


Mais,  s’ils se plaignent beaucoup,  les voisins,  c’est toujours entre eux. 
Il n’est jamais très bon d’aller exposer un problème face à un service public dans lequel les fonctionnaires gagnent à multiplier les problèmes,  multiplier les provocations,  multiplier les désordres, les drames et usent volontiers de représailles.  Les voisins le savent bien.  On ne peut les en blâmer. 

Il faut rappeler que cette maison est construite dans un quartier industriel.  Dans ce quartier on observe beaucoup de transactions,  beaucoup de grosses opérations foncières,  des démolitions,  des reconstructions de bâtiments industriels. 

Pour la ville de Vitry sur Seine,  il faut donc arranger les uns et,  pour ce faire,  déranger les autres  (falsification de dossier).  Il s’en raconte beaucoup. 


En matière de dérangement de dossier,  il s’en raconte beaucoup et,  il s’en fait pas mal. 
Notamment,  pour ce qui est connu de tous,  en matière de raccordement au tout-à-l’égout. 
Dans les dossiers,  le raccordement à l’égout des uns disparaît et réapparaît sur les terrains des autres.  Terrains qui,  eux,  ne sont pas raccordés. 

Ces désordres administratifs ne sont pas innocents.  Ils aboutissent,  aux bonnes occasions,  à faire supporter aux uns les méfaits des autres. 


Bien sûr,  les coûts de ces méfaits sont couverts avec du bon et généreux argent public. 
En revanche,  les profits illégitimes (en argent black),  sont pour les élus.  Bref,  il y a de l’ambiance.  Dans le quartier,  on ne s’ennuie pas.  Les affaires succèdent aux affaires. 

On l’a deviné.  Le raccordement à l’égout de la maison  (La niche à chiens)  va mystérieusement disparaître (des dossiers).  Cette disparition n’est pas innocente.  Ce détail,  entre autres,  permettra plus tard de faire classer cette maison insalubre par la préfecture. 

Toujours en 1994,  pour ce qui est de l’adduction d’eau à ces familles en difficulté.  On observe que la Préfecture s’est opposée à installer dans la rue une borne amovible de distribution d’eau.  Comme cela est l’usage dans de pareilles circonstances.

À décharge de la Préfecture,  il est possible aussi que l’assistante sociale de la ville de Vitry sur Seine,  Assistante sociale toujours très occupée,  ait oublié d’informer le Préfet de la situation vécue par ces familles.  Mais,  cela est peu probable. 



samedi 14 mai 2011

La Préfecture

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 



- LA  PRÉFECTURE - 

Par nature,  les fonctionnaires sont toujours à la recherche de quelque chose à voler. 


À la Préfecture on finit par être alerté. 
Mais attention,  un fonctionnaire n’est pas un pompier.  Pour un fonctionnaire,  être alerté veut dire : «Il n’y a pas le feu au lac». 
D’autant que,  dans ce dossier,  la consigne est : « Faire durer le plus longtemps possible ». 

Néanmoins,  il est rapporté qu’à la Préfecture,  on s’est finalement décidé à faire une proposition de relogement pour ces familles.  (Ce n’est qu’une proposition.) 

Malheureusement,  à la ville de Vitry-sur-Seine,  le maire,  « l’Abbé communiste »  Alain AUDOUBERT,  s’oppose à ce relogement. 
À la ville de Vitry,  ses intérêts avant tout,  Alain AUDOUBERT,  a décidé que les enfants resteraient dans la cave sordide.  Un point,  c’est tout ! 


La misère des plus pauvres régale les plus riches. 
Les bien pensants,  donneurs de morale,  s’en mettent plein les poches. 

La situation dramatique de ces familles est porteuse d’un gros dossier social (un dossier très lucratif).  Mais,  il n’y a pas que cela. 

Il y a aussi quelque chose qui apparaîtra plus tard.  (À cet instant,  on n’imagine pas encore une sombre spéculation dans le cadre d’un projet foncier.) 

Ce dossier social,  avec certainement un bon nombre d’autres,  assure le niveau de vie des nantis.  Nantis qui,  eux,  vivent dans les beaux quartiers. 


Il faut donc veiller à n’apporter aucune solution à ces dossiers. 
Bien au contraire,  ne pas hésiter à multiplier les problèmes.  Cela,  en attendant un évènement grave.  Lequel évènement permettra aux Financiers charognards de s’emparer à bon compte de ces précieux m2 de terrain,  tant convoités. 


Un seul mot d’ordre :
« Faire durer ».  Les enfants de ces familles seront donc maintenus l’hiver dans la cave,  l’été dans la cabane jusqu’en 1999.  Date à laquelle,  on va le voir,  l’affaire se terminera dans un bain de sang. 



vendredi 13 mai 2011

Les associations

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 




- LES  ASSOCIATIONS - 


La société croule sous  « LES »  associations. 
Elles sont nombreuses les associations.  Elles sont « humanitaires »,  « caritatives »,  « de défense de tous poils »,  etc. 

Ces associations sont subventionnées à prix d’or avec,  le plus souvent,  du bon et généreux argent social. 
De l’argent social,  directement ou indirectement,  prélevé dans les caisses publiques au détriment des bénéficiaires légitimes.  Pourquoi se priver ? 


Elles sont nombreuses ces associations. 
Certaines se disent de défense des immigrés.  Périodiquement,  ces associations font « la une ».  Elles dénoncent les mauvais traitements que les Pouvoirs publics et les entreprises privées réservent aux étrangers. 
Mais attention !  Ça,  c’est de la récupération politique.  Rien d’autre ! 


Et,  récupération politique,  au profit de qui ? 
On ne dit,  et on ne fait pas,  n’importe quoi.  Le discours doit remplir les poches et les caisses des promoteurs,  des élus et des curés  (Les Financiers charognards,  le capital de la Dette publique)
Pour le reste :  « Allez-vous faire foutre ! » 


Les associations font leur beurre de la misère. 
La misère est la source de la récupération politique.  Mais,  cette source n’est pas intarissable.  Il faut la ménager.  Et,  la gérer et la régénérer. 
Sur le terrain,  on ne fait pas n’importe quoi au profit de n’importe qui. 

De plus,  les « permanents bénévoles »,  de ces associations,  de pseudo défenseurs des émigrés,  sont plus portés à tirer profit pour eux mêmes des situations de détresse bien réelles de ces personnes. 

L’activité lucrative consiste à se livrer au racket sur quelques maladroits de commerçants,  de chefs d’entreprises ou encore,  de propriétaires. 


Il faut bien que les permanents bénévoles vivent de quelque chose. 
Ça mange,  un permanent bénévole !  Et,  dans ces milieux associatifs,  on ne s’ennuie pas.  On mange bien !  Champagne,  Caviar !  À la bonne vôtre ! 

Il ne faut pas croire !  Bien travaillée,  la misère est une matière première très lucrative.  Ce ne sont pas les curés qui nous diront le contraire. 


Dossier trop compliqué. 
Dans ce dossier,  il n’est pas possible de mettre en cause le propriétaire.   Trop compliqué ! 
De plus,  en travaillant ce dossier,  on remonte immanquablement à ces gens qui,  avec l’argent public,  financent grassement ces mêmes associations. 

Pour une association,  ce dossier est franchement ingérable.  La réponse de l’association est : « Vraiment,  vraiment,  trop … compliqué ».  (Allez-vous faire foutre !)  


Il ne faut pas compter non plus sur les journalistes. 
Les journalistes sont au service du capital de la Dette publique.  La règle première est de se taire. 


Les journalistes n’ont pas le temps.  Ils sont trop occupés ailleurs. 
Ce qui intéresse les journalistes  (Et les associations)  c’est l’image du système qui les nourrit. 
Les journalistes gagnent à pleurnicher sur le sort des otages bidons  (À l’étranger)  ou mieux,  de larmoyer sur les conditions d’hébergement des enfants dans les centres de rétentions.  Là,  c’est grave !  Le reste n’intéresse personne. 


On ne parlera de cette affaire que si cette affaire devient un instrument de manipulation. 
La seule chose qui compte,  c’est valoriser l’institution judiciaire aux mains des curés et vomir des saloperies sur des gens qui n’ont rien à se reprocher. 



jeudi 12 mai 2011

Le Procureur de la République

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 




- LE  PROCUREUR  DE LA  RÉPUBLIQUE - 

Par nature,  les fonctionnaires sont toujours à la recherche de quelque chose à voler. 


Le Procureur de la République,  BARRAU Michel,  lui aussi est alerté.  (Il est même dans tous ses états)

Il est vrai qu’en fin de période,  le Procureur sortira de situation la seule fillette qui vit au milieu de ses nombreux frères,  demi-frères  et cousins. 

Vivant à l’africaine,  la fillette est considérée comme une bonne à tout faire.  On peut parler d’esclavage.  Quant à l’hygiène ?  Il est préférable de ne pas en parler ! 

Pour le reste du temps,  le procureur de la République,  lui aussi,  fait durer : « Le plus longtemps possible ». 
Il connaît la consigne,  BARRAU Michel.  Cette consigne vient de qui ? 

Le procureur BARRAU Michel est précédé par une sinistre réputation.  Il n’y a qu’à demander au Juge Éric HALPHEN.  Il vous dira ce qu’il en pense. 

D’ailleurs,  après avoir multiplié les exploits au Parquet de Créteil,  BARRAU Michel sera nommé à Toulouse où il aura en charge d’étouffer la grande affaire.  (L’affaire Patrice Allègre) 

En attendant et histoire de gagner 10 mois,  en 1995,  le Procureur met le propriétaire,  victime du squat,  en « Examen ».  (C’est gratuit !) 

Bien sûr,  cette procédure,  stérile pour les enfants,  se terminera par un « Non-lieu » au profit du propriétaire. 
Cependant la chose aura permis aux enfants de passer un été de plus dans la cabane,  avant de revenir,  l’hiver,  dans la cave insalubre.  C’est toujours cela de gagné. 


Néanmoins,  il est utile de revenir sur le chef d’inculpation : 
- « Soumission d’une personne,  en abusant de sa vulnérabilité, à des conditions d’hébergement incompatibles avec la dignité humaine,  mise en danger de la personne par violation délibérée d’une obligation de sécurité et de prudence. »  Rien de moins ! 


Décidément, au Tribunal de Grande Instance de Créteil, on n’a vraiment rien à foutre. 
Qu’est ce que cela aurait été,  si le Procureur de la République BARRAU Michel avait su que ce n’était pas une,  mais au moins 12 personnes,  dont des enfants mineurs qui étaient soumis aux conditions d’hébergement incompatibles avec la dignité humaine,  cela par la faute d’un seul propriétaire !  Vous vous rendez compte ! 

On le voit,  pendant que les uns crèvent,  au Parquet … on s’amuse.